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Recherche par lecteur : Catherine Jauréguy

27 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:4h. 50min.
Genre littéraire:Roman d'amour
Numéro du livre:23640
Résumé: Mon regard se caressait à l'ivoire merveilleusement lisse de ses fesses, et rien ne pouvait être plus parfait, plus noble même, que l'arrangement de lumière et d'ombre qui en modelait les galbes. Pendant une seconde, je l'aperçus de face, toujours frétillant et nu comme un poisson au bout de la ligne. Mais je reçus cette fois comme une gifle l'insolente vision : en un instant les joues me brûlèrent et j'éprouvai une sensation de vertige, une légère et délicieuse pression à la hauteur de l'estomac, les yeux fixés sur l'amulette brillante, nacrée, qui ballait entre les cuisses du jeune homme. [...] Mon cœur s'est ouvert à cet instant et ne s'est jamais refermé. L'homme nu que Fanny, quinze ans, aperçoit fugitivement sur la plage suscite un trouble inoubliable chez l'adolescente. Retrouver cet «ange» devient une obsession. D'autant qu'après avoir subi une opération à cœur ouvert, Fanny a sombré dans une intense dépression. Meurtri par la maladie, son corps réclame de l'aide. Lorsque la rencontre a enfin lieu, le bonheur semble promis. C'est sans compter les secrets de l'élu, homosexuel, qui ne peut répondre à la passion de la jeune fille... Fanny Carel aborde sans détours la naissance du désir sexuel et revisite, avec beaucoup d'humour, le mythe du prince charmant.
Durée:3h. 37min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:24622
Résumé: De la bouche des enfants sortent souvent, outre des vérités toutes crues, moult questions d'une évidence abyssale. Les éluder serait criminel ; y répondre est suicidaire. «Y avait-il des dinosaures dans l'Arche de Noé ?», a un jour confié à son père la jeune Constance Wackenheim, songeant sans doute que son père datait du carbonifère, en tout cas était du bois dont on fait les radeaux diluviens. Le très digne Vincent Wackenheim, dos collé au mur des siècles, a donc élaboré une réponse, que voici. Panique à bord, donc, ce matin où Noé, qui a pourtant purgé la «zoopole» de tout un fourniment de bizarreries à pattes, à poil ou à cornes, se retrouve avec une paire de dinos bien calés au fond de l'Arche. Soucieux d'ordre à bord, il mande le tout-Arche qui décide de faire avec; une règle de «savoir-survivre» est par ailleurs édictée qui veut qu'on ne se mange pas entre membres, que si, eh bien on est mis à l'eau, les victimes d'amputation génitale seront extradées (pour les inutiles, il n'y a que la baille qui aille) ; la direction s'engage par ailleurs à nourrir les embarqués. Mais point sournoisement dans l'encéphale pourtant ténu des dignes animaux l'idée que les dinos ne sont sans doute pas si bêtes que ça, donc mangeables à souhait. Par ailleurs, ils pèsent, et lourd, et dans un milieu où la fornication a été réduite à rien pour cause d'espace restreint. Mais foin du décret, crie la faune, et bête à deux dos de se multiplier. Peu à peu, la croisière abuse : désordre s'installe et Noé se voit menacé. Il était temps que la très cornarde madame Noé prenne les choses en main et fasse disparaître les bêtes écailleuses dont la volatilisation génère illico trouble et révolte parmi la gent (plus très gente) animale : dégâts, déprédations. Arche alors de sombrer et Noé de périr. Reste Dieu (comme toujours) dont les jours sont comptés. Je ne sais pas si Constance va apprécier. Ci-joint, donc, la Genèse version Wackenheim, associative et entropique. Et... en avant, Arche.
Durée:5h. 33min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21601
Résumé: Hercule n'est nulle part en sécurité. Ni chez lui, ni à l'école. Insultes, agressions sexuelles, humiliations, châtiments corporels, la violence perverse des adultes semble infinie. Ce n'est rien, juste une enfance ordinaire, à la campagne, en France, au début des années soixante. Avec son meilleur ami, Hercule invente une société secrète. Ensemble, ils mènent une vie libre et sauvage, et ne se soumettent qu'en apparence à l'ordre établi. Mais une découverte va bouleverser leur existence et celle des habitants du village. Réveillant des passions qu'on croyait mortes, les Pieds-Bleus mettent le feu aux poudres et provoquent un feu d'artifice.
Durée:9h. 59min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:22431
Résumé: Le prix Nobel de la Paix 2006 a couronné l'extraordinaire destin et le travail d'un homme qui a transgressé les préjugés conomiques, politiques et religieux les plus tenaces en mettant en place une banque pour les pauvres. En créant au Bangladesh la Grameen Bank, il a prouvé non seulement que le micro-crédit fonctionnait avec une extraordinaire efficacité - plus de 95% des prêts sont remboursés - mais aussi qu'il contribuait à redonner leur dignité à des millions d'hommes et surtout de femmes. Aujourd'hui, grâce à Muhammad Yunus et au micro-crédit, plus de 10 000 institutions de micro-finance sont réparties sur la planète - au Sud comme au Nord - et plus de 150 millions de familles pauvres ont enfin accès à des services financiers adaptés. Une authentique révolution mise en place par un visionnaire dont voici l'autobiographie.
Durée:19h. 43min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21881
Résumé: Notre monde contemporain, mû par un instinct sauvage de l'avenir, croise dans ce roman un monde plus ancien dans lequel une vieille usine abrite le destin d'une famille nombreuse récemment arrivée d'Afrique. Des mondes apparemment inconciliables que le hasard met en contact par l'intermédiaire de Milena Leandro, l'étrange jeune fille aux yeux de laquelle tout naît pour la première fois et dont la simplicité va tout bouleverser. Dans un Algarve tragique et sauvage, Milena évolue entre une famille attachée à ses privilèges et à son image sociale et une tribu cap-verdienne vivace pour laquelle la musique irrigue la vie. Milena nous conduit à travers la mort vers un amour impensable, un crime, une trahison et un silence à jamais scellé. Son regard toujours neuf sur la vie, le bien et le mal, sa vision de la valeur du monde constituent la matière même de ce roman. Dans son œuvre, Lidia Jorge fouille toujours au plus profond de la cruauté primaire des êtres. Ici, pour la première fois, elle nous découvre la perversité et la lâcheté qui l'accompagnent. Cet extraordinaire roman a reçu le Prix de l'APE, l'un des prix littéraires les plus prestigieux du Portugal.
Durée:11h. 21min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:23738
Résumé: Jean-Luc Einaudi retrace dans cet ouvrage certains événements marquants qui ont ponctué la guerre française en Indochine, de 1945 à 1954. Dans les Forces françaises et des États associés, il y eut officiellement 106 658 morts et disparus. Côté vietnamien, le nombre dépasserait le million de victimes. Mais au-delà des chiffres, ce conflit marqua une génération et un pays, comme la guerre d'Algérie ensuite. On sait combien la classe politique française fut partagée à propos de cette guerre, qu'il faut bien appeler coloniale ; elle suscita scandales, affaires louches, et se termina pour la France par la défaite humiliante de Dien-Bien-Phu.Une enquête minutieuse, des témoignages étonnants de certains acteurs de cette guerre, le parcours de ce curieux personnage que fut Georges Boudarel (un Français qui, par conviction, se retrouva instructeur politique dans les camps où étaient détenus des soldats français) font de ce livre un document riche et passionnant sur cette période et cette guerre qui, dans l'inconscient collectif français, continue d'être perçue de façon trouble et ambiguë. Une guerre que certains auraient bien aimé jeter "à la poubelle de l'Histoire'.
Durée:11h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:26449
Résumé: "Je m'appelle Filolog, dit l'homme à Paul d'une voix grondante, craquante et croassante. Je me charge de tous tes devoirs pendant une semaine si tu me donnes toutes tes prépositions et... disons, tes articles définis." Paul s'empresse d'accepter la proposition de ce drôle de bonhomme. Et peu importe le curieux langage qu'il adopte alors et qui fait rire toute la classe... excepté le maître. La semaine écoulée, il n'a qu'une envie : que Filolog continue à faire ses devoirs à sa place. Cette fois, l'homme exige ses formes verbales en échange... Jusqu'où Paul va-t-il aller avant de comprendre l'utilité de la grammaire ?